19/01/2009
De l'amour
De l’amour, un matin qui va
 Qui vient
 Qui va plutôt, plutôt très bien
 Qui s’en va
 
 Dans l’air atone d’un matin
 Qui s’en va
 L’amour que j’avais dans mes bras
 Sur mon sein
 
 Le voici tout près et si loin
 Le voilà
 Le voici il me tend la main
 J’ai froid.
15:19 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
On peut frissonner sous le soleil implaccable d'un été.
Écrit par : lidia | 10/02/2009
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