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24/05/2009

Zinc

Tandis qu'assoupi, un vieillard
ronflait sur le zinc,
s'élevait la triste complainte
du café noir.

Cœur déconfit, brouillard
le client matinal,
accrochait de pauvres regards
au plafond sale.

18:34 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (2)

Commentaires

Je t'ai interrogé sur Toulet sur ton autre blog mais je comprends en revenant ici(après avoir fait des "fouilles") que c'est avec CE blog que j'étais en lien et il correspond mieux à ce que je connais de toi depuis un temps qui commence à compter. Je vais changer mon lien...bises.

Écrit par : ariaga | 23/05/2009

Excellente libre contrerime...

Écrit par : Xian | 27/05/2009

Les commentaires sont fermés.