27/02/2010
Bohème
Ma bohème fut vide
Sans éclat ni Pont-Neuf
Mes poches étaient solides
Et mon pantalon neuf...
Mon ciel à la maison
Ne portait pas d'étoile
Mais la mouvante toile
Des ombres d'un plafond...
Et j'allais infidèle
J'allais sous la grande-ourse
Mais jamais sous le ciel
je n'ai suivi sa course.
23:35 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)
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