11/02/2011
La retraite du faux marin
A la mer jamais, son coeur, ne s'apaisera
Des mots, des mots
Des tempêtes terrestres
Et des grains de café
Le faux capitaine jamais ne partira
Plus loin que la lanterne
Au fond de son jardin
Et regardant au-dessus des troènes
Il verra
Un fleuve de voitures
Un bateau peut-être
Mais sur un toit.
17:59 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)
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