03/12/2011
Hiver
Les matins blêmes portent nuit
Et des bijoux de pacotille,
Accrochant aux semelles des gens
leur jeunesse qui fout le camp.
Je me lève. Tout a disparu.
Dans tes yeux, dans ma rue.
18:12 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)
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