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13/09/2012

Sans vous.

Dans les faubourgs
des feuilles d'acier
écrasent les passants
tout a changé
le tilleul n'est plus
Les trois maisons et le soir
l'horloge ne sonne plus
le boucher est mort
il reste le souvenir de vos pas
de vos voix mais...
C'est plus dur sans vous.

20:58 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (2)

Commentaires

J'ai toujours fini par venir et revenir te lire. Lire la poésie de ta nostalgie.
Je te souris.

Écrit par : lidia | 20/09/2012

Merci pour ce sourire et je suis heureux de ton retour.

Écrit par : aliscan | 11/11/2012

Les commentaires sont fermés.