25/07/2013
Zinc
Tandis qu'assoupi, un vieillard
ronflait sur le zinc,
s'élevait la triste complainte
du café noir.
Cœur déconfit, brouillard
le client matinal,
accrochait de pauvres regards
au plafond sale.
12:55 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Je suis venue m'accouder au Zinc pour voir ce que tu devenais et une araignée est venue me rendre visite à la recherche d'une petite soeur logée dans un coin de mon cerveau ! Amitiés.
Écrit par : ariaga | 28/07/2013
Un petit coucou en passant. J'espère que je ne ronfle pas la nuit ou plus depuis que j'ai été opérée de la glande thyroïde... il me semble que je ne ronfle pas ou plus mais comme je dors je ne sais pas.
Écrit par : elisabeth | 10/08/2013
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