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31/01/2014

En Guadeloupe...

A Bouillante, en Guadeloupe, le 11 septembre 1987.jpg

Leçon de piano 1


00:11 Publié dans Bidouille | Lien permanent | Commentaires (0)

29/01/2014

A mon ami

Après m'avoir serré la main
L'ami se retourne une fois
Et jamais moins,

C'est un trésor que celui-là
Ses yeux accompagnent mes pas
Sa main se lève,

Son sourire est comme un jardin
Tandis que la soirée s'achève
Je me sens bien.

10:10 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)

27/01/2014

A mes filles

Petit bout, blanc et rose
tes cris et tes chants
bercent mes nuits autant
que mille virtuoses,

Et quand dans les moiteurs,
le silence appareille
je tends les deux oreilles
pour écouter ton cœur,

 

Et je m'endors heureux
rêvant à l'élixir
que sera ton sourire
pour mes matins brumeux.

10:10 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)

25/01/2014

A Marie

De si grands yeux
Un si petit visage
C'est curieux.

On dirait deux orages
Deux éclairs bleus
Et sages.

C'est l'innocence
Ce joyau que consume
L'enfance.

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23/01/2014

Marie

IMG_1407.JPG

21/01/2014

A la fin

J'avance un peu mais peu importe
Je sens déjà que vient la fin
Elle m'emporte

Elle m'emporte et c'est en vain
Que je résiste encore enfin
J'ouvre ma porte

Il fait très froid sur ton chemin
ô saison, très froid, à la fin
L'hiver m'emporte.

10:13 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)

19/01/2014

Araignée

Mur blanc
Des pattes d'araignée
Frémissent encore.

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17/01/2014

La chèvre et le sanglier.

Une chèvre avait pour domaine

Une forêt entière

De cet empire, elle était reine

Son maître en était fier.

Par ici point de prédateur

Ni loup, pas même un chien

Que des caresses et du bonheur.

Mais dans une clairière

Où elle broutait de bon cœur,

Survint un mammifère,

Précédé d’une forte odeur :

« Belle forêt, Madame

On dit que vous n’en sortez guère

Dit l’odorante bête.

- Je n’en sors guère certes,

Pourquoi quitter ce paradis,

J’y trouve herbe et logis,

Il me faudrait perdre la tête

Je n’en ai point envie !

Le sanglier marqua le coup

Puis se mit à sourire :

- Ainsi vous me traitez de fou

Au revoir…

Et l’animal de partir.

La chèvre reprit son repas

Mais tout avait changé,

- La forêt ? Une geôle de bois !

Des murs avaient poussé ;

Mêmes les arbres ses amis

Se dressaient menaçants,

Une muraille de géants

Un rempart ennemi.

Je vivais dans une prison

Sans m’en apercevoir,

Pensait-elle avec désespoir,

Je n’étais qu’un mouton,

C’est décidé, je pars ce soir ».

Sur ces entrefaites, un chasseur

Vient, traînant une bête,

Le sanglier qui tout à l’heure

Lui faisait la causette.

La chèvre redevint mouton

Et partit se coucher.

Tout se paie, le chant des grillons

 

Même la liberté.

17:10 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)

11/01/2014

"Moi, j'aimais bien être noir"

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08/01/2014

Jupon blanc

Voyez-vous ce jupon qui sommeille
Dans l'armoire fermée à clé
Pareil
 
Au linceul couvrant nos années
Aux pas à jamais déposés
Et même
 
Ces mains sur tes dentelles blanches
Ces mains avides sur tes hanches
Sont blêmes. 

00:02 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (2)

04/01/2014

Bonne année à toutes et à tous.