31/01/2014
En Guadeloupe...
10:10 Publié dans Photographie | Lien permanent | Commentaires (1)
Leçon de piano 1
00:11 Publié dans Bidouille | Lien permanent | Commentaires (0)
29/01/2014
A mon ami
Après m'avoir serré la main
L'ami se retourne une fois
Et jamais moins,
C'est un trésor que celui-là
Ses yeux accompagnent mes pas
Sa main se lève,
Son sourire est comme un jardin
Tandis que la soirée s'achève
Je me sens bien.
10:10 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)
27/01/2014
A mes filles
Petit bout, blanc et rose
tes cris et tes chants
bercent mes nuits autant
que mille virtuoses,
Et quand dans les moiteurs,
le silence appareille
je tends les deux oreilles
pour écouter ton cœur,
Et je m'endors heureux
rêvant à l'élixir
que sera ton sourire
pour mes matins brumeux.
10:10 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)
25/01/2014
A Marie
De si grands yeux
Un si petit visage
C'est curieux.
On dirait deux orages
Deux éclairs bleus
Et sages.
C'est l'innocence
Ce joyau que consume
L'enfance.
10:10 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)
23/01/2014
Marie
10:10 Publié dans Photographie | Lien permanent | Commentaires (1)
21/01/2014
A la fin
J'avance un peu mais peu importe
Je sens déjà que vient la fin
Elle m'emporte
Elle m'emporte et c'est en vain
Que je résiste encore enfin
J'ouvre ma porte
Il fait très froid sur ton chemin
ô saison, très froid, à la fin
L'hiver m'emporte.
10:13 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)
19/01/2014
Araignée
Mur blanc
Des pattes d'araignée
Frémissent encore.
10:10 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)
17/01/2014
La chèvre et le sanglier.
Une chèvre avait pour domaine
Une forêt entière
De cet empire, elle était reine
Son maître en était fier.
Par ici point de prédateur
Ni loup, pas même un chien
Que des caresses et du bonheur.
Mais dans une clairière
Où elle broutait de bon cœur,
Survint un mammifère,
Précédé d’une forte odeur :
« Belle forêt, Madame
On dit que vous n’en sortez guère
Dit l’odorante bête.
- Je n’en sors guère certes,
Pourquoi quitter ce paradis,
J’y trouve herbe et logis,
Il me faudrait perdre la tête
Je n’en ai point envie !
Le sanglier marqua le coup
Puis se mit à sourire :
- Ainsi vous me traitez de fou
Au revoir…
Et l’animal de partir.
La chèvre reprit son repas
Mais tout avait changé,
- La forêt ? Une geôle de bois !
Des murs avaient poussé ;
Mêmes les arbres ses amis
Se dressaient menaçants,
Une muraille de géants
Un rempart ennemi.
Je vivais dans une prison
Sans m’en apercevoir,
Pensait-elle avec désespoir,
Je n’étais qu’un mouton,
C’est décidé, je pars ce soir ».
Sur ces entrefaites, un chasseur
Vient, traînant une bête,
Le sanglier qui tout à l’heure
Lui faisait la causette.
La chèvre redevint mouton
Et partit se coucher.
Tout se paie, le chant des grillons
Même la liberté.
17:10 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)
11/01/2014
"Moi, j'aimais bien être noir"
21:38 | Lien permanent | Commentaires (1)
08/01/2014
Jupon blanc
00:02 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (2)
04/01/2014
Bonne année à toutes et à tous.
13:08 Publié dans La pensée du jour, enfin du mois... | Lien permanent | Commentaires (1)