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04/03/2014

Ivoire

Le matin où danse le monde
Le passage blanc des piétons
Dans une ronde

Quatre noires : un soir infécond
L'ombre folle sous tes haillons
La nuit sereine

Et tes beaux yeux, deux notes noires
Silences, soupirs, ébène
Ivoire

10:10 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)

Commentaires

Très beau, majestueux. Bon week end.

Écrit par : elisabeth | 08/03/2014

Les commentaires sont fermés.