16/11/2014
Joyeux anniversaire.
La brume froufroutante de passants
et de passantes
Tout rougeoie. Les feuilles et les enfants
Un oiseau chante
J'entends murmurer
Et te voici parmi les arbres nus
Ma chère enfant
Dix-huit années ont passé. Je n'ai rien vu
Dix-huit printemps
Dix-huit automnes, dix-huit hivers, autant d’étés
Faut-il toujours
Suivre ses amours
Et me laisser ?
08:00 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
On se laisse paresseusement aller d'années en années : une de plus et une de plus ajoutée aux autres, ça fait un long chapelet d'années. Et voilà qu'on se réveille au bout de plusieurs. Bonne semaine.
Écrit par : elisabeth | 17/11/2014
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