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14/01/2015

Hiver

Les matins blêmes portent nuit
Et bijoux de pacotille,
Accrochant aux semelles des gens
leur jeunesse qui fout le camp.
 
Je me lève. Tout a disparu.
Dans tes yeux, dans ma rue.

10:39 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)

Commentaires

Ma jeunesse, mes 20 ans, c'était Charlie Hebdo....

Écrit par : elisabeth | 14/01/2015

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