29/01/2015
Stanislas, une coulée de lumière Jame's Prunier
10:58 Publié dans Photographie | Lien permanent | Commentaires (2)
Jame's Prunier : Stan, tombée de lumière.
10:46 Publié dans Photographie | Lien permanent | Commentaires (0)
16/01/2015
Souvenir déjà...
10:43 Publié dans Photographie | Lien permanent | Commentaires (2)
14/01/2015
Hiver
10:39 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)
13/01/2015
Mais pas oublié.
19:29 Publié dans La pensée du jour, enfin du mois... | Lien permanent | Commentaires (1)
12/01/2015
Ne dites pas sale juif
Des enfants sont morts aux visages
Blancs sous la douloureuse pierre
Qui n’a plus d’âge
Mais ne dites pas sale juif
Ne dites rien sur les enfants
Assassinés
Ce sont les mêmes les enfants
Sont des rois dans notre maison
Et dans la tienne
09:34 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)
10/01/2015
Purée de Haïku
Je ne suis plus si jeune Les amis de paille
L’ombre résiste Usés jusqu’à la corde
Derrière mes volets Des regrets
Amours SMS
Illimitées
Au forfait Ta voix comme un ruisseau
Dont le lit asséché
Le chat fait un rond A épousé la terre (abreuvé)
Au centre
Le bitume chaud
Je regarde ces maisons Ne pleure pas
Elles m’ont volé mes champs Et
Ne te retourne pas
Mon enfance sur l’abîme de nos jours
Le soleil me laisse froid j’ai froissé la pierre
J’aime les matins brumeux et mon coeur
Les ardoises blanches de givre et cette lettre glacée
Ce qui reste Suivre le cercle blanc
Une odeur de terre De nos pas infinis
La pluie sur ta maison Jusqu’à toi
La solitude comme Le temps s’ennuie
Un enfant qui s’éloigne
De ne pouvoir rompre
A petits pas Avec son passé
La rue des dames Sous la pluie les dames
Pavée de gris Haut perchées
Et de pluie Font les grues
Ces années sont douces Des clients poussiéreux
Comme des oranges amères Se reboutonnent
Comme un enfant La queue basse
Le lilas éphémère Tout est dévasté
Sur tes murs éphémères Mon ciel bleu
Refleurira Mes nuages
En mai Sous les cerises
Les ballets blancs, rouges L’aimable fruit
Des papillons De nos amours
Tes yeux gris parfois Au bout du chemin
Je t’aime aussi Du sentier noir
Pour ces yeux là Rien
L’ombre des années Pas encore peur
Ne te retourne pas
Sous mes yeux
Dans mon cœur Au milieu du gué
http://aliquante.hautetfort.com/
08:32 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (3)
08/01/2015
Bonne année mon cul !
21:07 Publié dans Humeur (mauvaise) | Lien permanent | Commentaires (2)