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29/01/2015

Stanislas, une coulée de lumière Jame's Prunier

Jame's Prunier : Stan, tombée de lumière.

16/01/2015

Souvenir déjà...

Sans titre.JPG

14/01/2015

Hiver

Les matins blêmes portent nuit
Et bijoux de pacotille,
Accrochant aux semelles des gens
leur jeunesse qui fout le camp.
 
Je me lève. Tout a disparu.
Dans tes yeux, dans ma rue.

10:39 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)

13/01/2015

Mais pas oublié.

Mahomet en une du «Charlie Hebdo» de mercredi

12/01/2015

Ne dites pas sale juif

Des enfants sont morts aux visages
Blancs sous la douloureuse pierre
Qui n’a plus d’âge

Mais ne dites pas sale juif
Ne dites rien sur les enfants
Assassinés

Ce sont les mêmes les enfants
Sont des rois dans notre maison
Et dans la tienne

09:34 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)

10/01/2015

Purée de Haïku

Je ne suis plus si jeune   Les amis de paille 
L’ombre résiste   Usés jusqu’à la corde 
Derrière mes volets   Des regrets 
 
Amours SMS 
Illimitées 
Au forfait   Ta voix comme un ruisseau 
   
 Dont le lit asséché 
Le chat fait un rond   A épousé la terre (abreuvé) 
Au centre 
Le bitume chaud 
 
Je regarde ces maisons  Ne pleure pas 
Elles m’ont volé mes champs Et 
 
Ne te retourne pas 
Mon enfance   sur l’abîme de nos jours 
 
Le soleil me laisse froid   j’ai froissé la pierre 
J’aime les matins brumeux et mon coeur 
Les ardoises blanches de givre et cette lettre glacée 
 
Ce qui reste   Suivre le cercle blanc 
Une odeur de terre   De nos pas infinis 
La pluie sur ta maison  Jusqu’à toi 
 
La solitude comme Le temps s’ennuie 
Un enfant qui s’éloigne 
 De ne pouvoir rompre 
A petits pas   Avec son passé 
 
La rue des dames Sous la pluie les dames 
Pavée de gris   Haut perchées 
Et de pluie   Font les grues 
 
Ces années sont douces
 Des clients poussiéreux 
Comme des oranges amères
 Se reboutonnent 
Comme un enfant
 La queue basse 
 
Le lilas éphémère Tout est dévasté 
Sur tes murs éphémères   Mon ciel bleu 
Refleurira Mes nuages 
 
En mai Sous les cerises 
Les ballets blancs, rouges
 L’aimable fruit 
Des papillons De nos amours 
 
Tes yeux gris parfois Au bout du chemin 
Je t’aime aussi Du sentier noir 
Pour ces yeux là Rien 
 
L’ombre des années Pas encore peur 

Ne te retourne pas 

Sous mes yeux       

 Dans mon cœur       Au milieu du gué 

http://aliquante.hautetfort.com/

 

08:32 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (3)

08/01/2015

Bonne année mon cul !