29/01/2018
Pauvre zinc
Sur un sinistre zinc sans teint
Mes deux coudes posés
Je cherche ton reflet en vain
Tes parfums oubliés,
Des enfants mais plus de fumée
Quelques tables trop sages
Plus de flipper ni cendrier
On a tourné la page,
Toujours la chanson du café
Toujours des clients pâles
Mais un plafond immaculé
Et des serveurs sans âme.
18:00 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Oh triste, le temps passé ne revient plus. Bonne soirée.
Écrit par : elisabeth | 28/02/2018
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