13/05/2015
Toul
Tes trottoirs aux pavés merdeux
Encombrés de bennes en plastique
Et de boeufs,
Bordés de maisons asthmatiques
Aux fenêtres apoplectiques
Aux vieux parpaings
Tes remparts qui nous emprisonnent
Retiennent rumeurs et potins
Tes cloches sonnent.
11:55 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (3)
Commentaires
Quelquefois la ville nous offre des images bien tristes. Bon après midi.
Écrit par : elisabeth | 13/05/2015
D'accord pour les bœufs! Ce n'est pas ce qui manque!
Écrit par : Alezandro | 13/05/2015
Il faut faire une cure de nature mais peut-être pas ta poésie est nourrie par la prison des remparts. Amitiés.
Écrit par : Ariaga | 23/05/2015
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