24/01/2017
.
Bien sûr, je l'aime
Il n'est pas un matin
Où mes rêves ne traînent
dans les siens,
Je tends la main
Mais c'est à peine
Si mes doigts retiennent
Ces matins,
Je me demande parfois
Si nos rêves éteints
Refleurissent là-bas
Sur ses chemins,
Si ses pensées cheminent
Avec les miennes
D'amours aériennes
En amours clandestines,
Bien sûr, je t'aime
Il n'est pas un matin
Où mes rêves ne traînent
Avec les tiens.
13:51 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Magnifique ! bonne soirée.
Écrit par : Elisabeth | 24/01/2017
Merci !
Écrit par : aliscan | 25/01/2017
Les commentaires sont fermés.