17/12/2017
Grosse chaleur
Couchée sur les tommettes rouges
Tes yeux gris fixent le plafond
Rien ne bouge,
Béziers dort ; je cherche à tâtons
Une jambe, un visage, un nom
Une inconnue,
Sur le sol frais où tu reposes
Tes bras, tes jambes à demi-nus
Prennent des poses.
12:11 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Quand il fait une grosse chaleur à Béziers, rien ne vaut le carrelage pour ce rafraîchir. Bonne et heureuse année 2018 !
Écrit par : elisabeth | 04/01/2018
Les commentaires sont fermés.