02/03/2021
Arbres
Des arbres,
Comme on écrit l'azur.
Des arbres gigantesques
Au dessus des visages
Et par-dessus les toits.
Des arbres qui vont dormir
La tête dans le brouillard.
Et les badauds en feu
Qui passent sans les voir,
Un coup d'œil vers la Seine
ou vers un soupirail.
17:35 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Les arbres qui prennent trop de hauteur ne sont plus regardés par les badauds... Bon dimanche.
Écrit par : ELISABETH | 28/03/2021
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